En fait trois mots sont essentiels pour cerner la quête de Jean-Jacques Maho :
- mouvement, induit par l’effacement simple ou continu de l’encre ;
- forme, qui très souvent s’éloigne du réel pour laisser libre court à notre imaginaire ;
- espace dans lequel on plonge et qui reste en suspens, au seuil d’une étrangeté qui devient familière.
On peut être sensible également à l’alternance des masses sombres et des taches blanches qui nous renvoient aux énigmes du visible !
Colette Pagès (galerie Aralya)